Facebook est un superbe moyen, si on l’utilise avec parcimonie et pondération, de retrouver des amis, d’entretenir des réseaux amicaux ou professionnels. Mais la multiplication « d’amis » – et surtout leurs appartenances à divers univers de nos vies quotidiennes – pourrait également vouloir dire plus de stress selon une étude publiée par la Business School de l’université d’Edimbourg.
Maman sait que tu tournes ?
Pour être précis, cette analyse met en corrélation le nombre de groupe « d’amis » et le stress. Autrement dit, c’est la cohabitation de différentes entités amicales dans un même espace qui peut causer des troubles. Lire la suite de l'article...
Auteur : Pierre Fontaine, 01net..