Près d’un salarié de la construction sur deux est susceptible de rencontrer des conditions de travail favorisant l’apparition des TMS, telles que des gestes répétitifs ou réalisés dans des positions incommodes, le transport manuel de charges importantes, l’utilisation d’engins et de matériels vibrants, une exposition aux intempéries, des situations de chantier parfois tendues… Ces situations génèrent par exemple des affections du rachis lombaire ou du ménisque (genoux). L’OPPBTP offre la possibilité de tester son entreprise sur le site Internet créé spécialement ; ou encore de découvrir les expériences d’entreprises ayant mis en place des solutions pour diminuer les risques d’exposition.
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Auteur : Hydroplus
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