L’audit à distance, et si on s’y mettait ?

Smartphone, tablettes, objets connectés, chaque jour nous digitalisons un peu plus nos modes de vie. Cette évolution des comportements et l’évolution technologique pourraient-elle simplifier nos process internes d’entreprise... et la pratique des audits.

Audits à distance : de quoi parle t-on ?

La délocalisation et à la multiplication des sites obligent les entreprises à revoir leur gestion interne. A cela s'ajoute la multiplication des exigences et des contrôles réglementaires, ce qui complexifie les process et peut nuire à l’assurance qualité de l’entreprise.

Beaucoup d’entreprises n’étaient pas préparées à la crise sanitaire de ce début d’année et se sont rendues compte que sans digitalisation, la gestion à distance de leurs process leur échappait et qu’il était très compliqué d’anticiper la reprise d’activité. Dans ce contexte, les audits à distance représentent un gage de qualité pour les entreprises qui pourront assurer la gestion des risques à distance.

Comment mettre en place l’audit à distance ?

Le principe d’audit terrain reste inchangé. Seule la personne auditée est présente sur le site. Elle est en communication constante avec l’auditeur qui la guide à distance. La digitalisation de ce processus est la clé. En effet cette “visio expertise” se pilote depuis une plateforme dédiée. L’éditeur BlueKanGo propose ce type de service à travers sa solution de digitalisation QHSE.

L’accès sur le terrain se fait via smartphone ou tablette et peut être complétée par des objets connectés (iOT) tels que des drones et caméras embarquées. L’auditeur réalise alors sa prestation à distance. Il sert à la fois de guide, peut annoter, prendre des photos...comme si il était sur place. Son rapport sera simplifié et agrémenté des éléments de preuves associés. Enfin le recours à la signature électronique procure aux documents une valeur juridique équivalente à un courrier en accusé de réception.

Grâce à la digitalisation et via des audits à distance, un seul auditeur peut assurer le suivi de plusieurs sites, rapidement, quelle que soit sa localisation. Cette pratique homogénéise les pratiques sur l’ensemble des sites, réduit les coûts et le sentiment d’isolement des sites les plus reculés.

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