Une nouvelle étude publiée par l’Institut de recherche Robert-Sauvé en santé et en sécurité du travail explore le potentiel d’utilisation des données d’exposition aux agents toxiques récoltées au Québec depuis plus de 30 ans par le Réseau public québécois en santé au travail.
Au début, les chercheurs estimaient que plus de 800 000 mesures avaient été réalisées par les équipes du Réseau durant cette période, constituant un bassin exceptionnellement riche de données qui pourraient être valorisées sous la forme d’une banque informatisée. Ce type de banque de données d’exposition professionnelle (BDEP), dont plusieurs ont été mises en place dans divers pays, peut être exploité aux niveaux local et national à des fins de surveillance des expositions, d’analyse des risques, d’établissement de norme, d’indemnisation et de recherche scientifique.
Pour télécharger, sans frais, le document, cliquez ici.
Auteur : IRSST.