Le seul vrai défaut du cloud computing est qu’il souffre encore d’un manque de standardisation. Chaque solution dispose de sa technologie propre et les données que l’on met dans l’une ne sont pas lisibles par l’autre. Certes, le marché high-tech est coutumier de ces technologies incompatibles mais, avec le cloud, le problème est plus grave que le fait de ne pas pouvoir relire un DVD HD dans un lecteur Blu-Ray ou une cassette VHS dans un magnétoscope Betamax. Il faut imaginer le cloud comme une version numérique de la banque. Il héberge le patrimoine numérique comme une banque héberge son patrimoine financier. De la même façon que l’on entrepose son argent à la banque pour ne pas que les billets cachés sous le matelas brûlent au premier incendie, on met son patrimoine numérique dans le cloud pour ne plus rien perdre à chaque fois que les disques durs cassent. Le seul vrai défaut du cloud computing est qu’il souffre encore d’un manque de standardisation. Chaque solution dispose de sa technologie propre et les données que l’on met dans l’une ne sont pas lisibles par l’autre.
Une version numérique de la banque
Certes, le marché high-tech est coutumier de ces technologies incompatibles mais, avec le cloud, le problème est plus grave que le fait de ne pas pouvoir relire un DVD HD dans un lecteur Blu-Ray ou une cassette VHS dans un magnétoscope Betamax. Il faut imaginer le cloud comme une version numérique de la banque. Il héberge le patrimoine numérique comme une banque héberge son patrimoine financier. De la même façon que l’on entrepose son argent à la banque pour ne pas que les billets cachés sous le matelas brûlent au premier incendie, on met son patrimoine numérique dans le cloud pour ne plus rien perdre à chaque fois que les disques durs cassent. Mais la ressemblance s’arrête là. Les banques sont interopérables. Pas les offres de cloud. Lire la suite de l'article...
Auteur : Yann Serra, 01net