Donner plus de pouvoirs aux salariés pour prévenir les crises industrielles

À l’occasion de l’affaire Lactalis, le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez expliquait qu’il fallait libérer la parole des salariés pour mieux prévenir et comprendre les dysfonctionnements. Une prise de position qui fait écho aux discussions sur le renforcement du pouvoir des salariés dans les organes de surveillance des entreprises par le biais de la codétermination. Mais qui en interroge aussi les limites.

Libérer la parole des salariés dans l’entreprise permettrait de mieux prévenir les crises environnementales et sanitaires qui mettent en danger les consommateurs, la planète et la réputation des entreprises. C’est l'avis de Philippe Martinez, numéro 1 de la CGT, qui s'exprimait le 15 janvier au micro de France Inter, à l’occasion de l’affaire Lactalis.

Donner plus de parole et de pouvoirs aux salariés au sein de l’entreprise est l’un des points abordés dans la grande réflexion en cours sur la réforme de l’entreprise dans le cadre du projet de loi Pacte . C'est ce qu'on appelle la codétermination, soit le renforcement de la présence des salariés aux conseils d’administration et de surveillance des entreprises. Lire la suite de l'article...

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