Le travail en hauteur toujours mieux encadré

Sur une charpente, un toit, un pylône, une plate-forme, un échafaudage... le travail en hauteur est une activité à risque. Pour en améliorer les conditions, de nouveaux produits apportent toujours plus de sécurité et répondent aux normes en vigueur. Le point sur l'actualité du secteur avec ses acteurs.

On sait que les chutes de hauteur font mal. Elles ont été à l’origine de 30 décès en 2015. Les statistiques de la CNAMTS (Caisse nationale de l'assurance maladie des travailleurs salariés) montrent que le pourcentage de chutes de hauteur dans les accidents du travail reste quasiment constant à 17% environ. Un accident sur un chantier ne fait que révéler au grand jour les dysfonctionnements lors de la phase de conception. « Tout ce qui est fait "à l'arrache", tout ce qui n'est pas prévu, programmé, étudié, etc. est source d'accident du travail », précise Patrick Darrieus, responsable de domaine chutes de hauteur à l'Organisme Professionnel de Prévention du Bâtiment et des Travaux Publics (OPPBTP). Les leviers pour accroître la sécurité sont toujours les mêmes. Cela passe par l'amélioration de la communication entre acteurs avec notamment le quart d'heure sécurité et par une meilleure organisation en amont du projet. Lire la suite de l'article...

 

Réactions...

eric 31 le :

Encore une fois les employeurs ne peuvent être au courant de tout en ce qui concerne la prévention des risques et en particulier des risques de chutes de hauteur. Il faut, pour chaque type de risque faire appel à qq de compétent indépendant et encore mieux, extérieur à l'entreprise.

MONTREUIL le :

Oui il faudrait rappeler que les iprp agréés par la direccte existent pour cet ensemble de choses en conseils auprès des chefs d'entreprises les tpe et pme en particulier je constate encore l’absence du document unique en particulier correct voir inexistant
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