Au prix d’un long combat, plus de 700 anciens mineurs de charbon lorrains ont obtenu vendredi la reconnaissance de leur préjudice d’anxiété pour avoir été exposés à des substances toxiques, une première ouvrant une brèche pour d’autres travailleurs, hors du secteur de l’amiante.
Saisie par 727 anciens mineurs des Houillères du Bassin de Lorraine, la chambre sociale de la Cour d’appel de Douai a alloué à chacun d’entre eux la somme de 10 000 euros en réparation de leur préjudice d’anxiété. Les mineurs CFDT, à l’origine de ce marathon judiciaire entamé en 2013, se sont félicités dans un communiqué d’un « dénouement heureux ». Lire la suite de l'article...
Auteur : AFP dans La Marseillaise.
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