Jaune, orange, rouge. Le dégradé de couleur des pictogrammes présent sur l’emballage des médicaments annonce le degré de dangerosité du produit : plus la couleur est intense, plus l’interaction du médicament avec la conduite représente un facteur de risque pour le conducteur.
Toute une série de molécules peuvent altérer les capacités nécessaires à la conduite. Pas seulement celles qui entrent dans la composition des anxiolytiques ou des antidépresseurs. Certains anti-inflammatoires, des antiallergiques, antidiabétiques ou anti-infectieux sont concernés. De simples médicaments contre la douleur, le rhume ou le mal des transports peuvent aussi présenter des effets difficilement compatibles avec la conduite. Parce que tous contiennent des substances agissant sur le cerveau, sur l’attention, ou en raison de certains de leurs effets secondaires. Et les choses évoluent. Lire la suite de l'article...
Auteur : Frédéricque Aubry, auto-moto.com.
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