Areva et EDF se sont empressés de déclarer que de nouveaux tests allaient être réalisés sur cet acier, et que les travaux du chantier se poursuivaient. Les résultats des tests devraient être connus en octobre prochain.
Cet empressement à communiquer sur l’air de dire « tout va bien, nous reconnaissons le problème et agissons en conséquence » est une tentative pour détourner l’attention de la gravité de l’anomalie détectée. Car ce problème est grave. Très grave. Et les conséquences sont probablement colossales pour la filière nucléaire française. Lire la suite de l'article...
Auteur : Yannick Rousselet, Greenpeace.