Entrés à 5h20, ils ont atteint les réacteurs en 15 minutes. Ils y ont déployé deux banderoles avec le message : « Tricastin, accident nucléaire. François Hollande, président de la catastrophe ? »
Dans le même temps, depuis la berge en face, d’autres activistes symbolisaient la fragilité de cette centrale nucléaire en projetant une fissure en cours de formation sur le réacteur n° 1 et les messages : « Tricastin, accident nucléaire », « Président de la catastrophe ? » et « Prêt à payer le prix ? » En savoir plus...
Auteur : Greenpeace.
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